À la faveur d’une année supplémentaire, tout cela a changé. Les évènements relatés dernièrement n’auraient pas eu la même saveur si j’avais reçu mon cadeau d’anniversaire quelques mois en avance (oui, bon). C’était le jour J, l’heure H, Minute – 5 et, alors que je faisais mollement réchauffer la tambouille du soir, NumberOne a passé furtivement la tête dans la cuisine et m’a informée : « Papa, il va t’offrir un iPhone noir !« . Pour l’effet de surprise, on repassera (à ce propos, s’il apprend un truc au sujet du gros bonhomme à la houppelande rouge et blanche, c’est certain, il caftera le pot aux roses à sa soeur qui en est friande, le 24 décembre).
Je dresse la table et, par miracle (ou simplement parce c’est un jour extraordinaire), ma fine équipée arrive moins de 10 min après le 3ème « A tableeeee ! » et nous dînons. Au dessert (c’est une pure forme rhétorique ; il est assez rare que nous en mangions), j’ouvre les paquets amoureusement scellés par mon Demi qui ignorait que son fils venait de lui jouer la grande scène de Brutus vis à vis de César. Sans grande surprise, c’est un smartphone à pomme qui fait de moi une vraie blogueuse à part entière (négligeos le fait que ces billets deviennent disparates). Je m’extasie néanmoins : « Hiiiiiiiii ! » et entreprend de jouer avec ce nouveau doudou.
Évidemment à côté, ça ne rate pas :
– Maman ? Tu me prêtes ton iPhone ?
Tu quoque fili ?